⚾ Le Dernier Jour D Un Condamné Résumé Chapitre Par Chapitre
Chapitre1 : le condamné compare son présent à son passé [qui foisonne d'idées] pour mettre en valeur le caractère obsessionnel de l'idée de mourir sur la guillotine. Chapitre 2 : il s'agit d'un flash back [6 semaines auparavant] dans lequel le condamné se rappelle le jour de son procès et toute l'agitation des personnes présentes [juges, procureurs, avocats, témoins, foule ].
Ilrend le condamné à mort sympathique (s'il avait voulu le rendre antipathique il aurait expliqué pourquoi il fut condamné à mort). Hugo est contre la peine de mort, ce roman est un plaidoyer contre la peine de mort. C'est un roman engagé. Le Dernier Jour d'un condamné ouvre donc la voie aux œuvres futures de Hugo, et si le thème
Cedernier, fils d'un ancien condamné à mort lui raconte son histoire et s'empare de sa redingote . CHAPITRE24 Le narrateur est enragé parce que l'autre condamné lui a pris sa redingote. CHAPITRE25 Le condamné est transféré dans une autre cellule. On lui rapporte, sur sa demande une chaise, une table, ce qu'il faut pour écrire et un lit.
Cettefiche de lecture de Le Dernier Jour d’un condamné reprend l'oeuvre dans son ensemble en détaillant le contexte, les personnages et en la résumant, chapitre par chapitre. Aller au menu; Aller au contenu; N°1 pour apprendre & réviser du collège au lycée. Conforme au programme officiel 2021 - 2022 : infos. Connexion. Inscription gratuite. Inscription gratuite. Ex Seconde.
COMPLETE] [FRENCH] Le dernier jour d'un condamné par Victor Hugo - kaz. Solo or group recordings that are finished and fully available for listeners. 23 posts 1; 2; Next; Bidou Posts: 65 Joined: May 21st, 2021, 4:31 pm Location: Annecy, France. Post by Bidou » January 24th, 2022, 5:16 pm Le dernier jour d'un condamné, par Victor Hugo (1802 - 1885) This project
En1829, Hugo publie Le Dernier Jour d’un condamné sans nom d’auteur : le texte est précédé d’une courte préface, reproduite dans les lignes 3 à 9. En 1832, Hugo l’intègre dans une seconde préface, plus explicite, dont voici un extrait. Il n’y avait en tête des premières éditions de cet ouvrage, publié d’abord sans
LeDernier jour d’un condamné est composé de 49 chapitres. Si certains sont denses que de quelques paragraphes, d’autres sont plus longs. Victor Hugo partage au lecteur les pensées, les états d’âme et les réflexions du condamné à mort. Les chapitres peuvent être regroupés dans plusieurs ensembles . 👇 Les chapitres rétrospectifs 🕰️
Analysedu dernier jour d'un condamné 19. Cours 5.1. Analyse Chapitre I : Condamné à mort! 30 min. Chapitre XIII : Le spectacle des forçats 30 min. Cours 5.8. Analyse Chapitres 13 et 14 : Le ferrement des forçats 30 min. Cours 5.9. Analyse Chapitres 15, 16 et 17 : S’enfuir! 30 min. Cours 5.10. Analyse Chapitres 18 ; 19 ; 20 et 21: C’est pour aujourd’hui! 30 min. Cours 5.11
entretien: le dernier jour d'un condamné - résumé Dans la prison de Bicêtre,un condamné à mort ( le narrateur) attend le jour de son exécution. Jour après jour, il note ses angoisses, ses espoirs fous et ses pensées.Le narrateur nous rappelle les circonstances de son procès ( chapitres 1/9 ).Puis il nous décrit sa cellule ( chapitre 10/12 ).
Bdc9Se. le dernier jour d'un condamné 250 questions le dernier jour d'un condamné, cours 1 bac francais, pour bien préparer votre contrôles et examens, vous trouvez ici 250 question concerne le Roman "le dernier jour d'un condamné",les question réaliser par le prof Yassine kasmi. le dernier jour d'un condamné questions résumé les actions chapitre par chapitre. voir plus Etudier de l'œuvre Le dernier jour d’un condamné»1bac, Fiche de lectureLe dernier jour d’un condamné. Questions générales Quel est le genre de cet œuvre ? roman autobiographique – roman à thèse – roman policier. Quelle est sa date de parution ? 1282 – 1829 – 1830. Quelle est la thèse défendue ? l’application de la peine capitale – l’abolition d la peine capitale – la défense de la peine capitale. Quelle est la visée des textes de ce roman ? visée argumentative – visée narrative – visée informative. Quelle est l’heure de l’exécution ? deux heures – trois heures – quatre heures. Le narrateur est un força – un galérien – un condamné à mort. Quel est le premier lieu dé séjour du narrateur ? la conciergerie – Bicêtre – l’hôtel de ville. A partir de quel chapitre annonce-t-on le dernier jour ? à partir du chapitre 13 – à partir du chapitre 18 – à partir du chapitre 48. Comment le narrateur a-t-il décrit les spectateurs ? gentils – malheureux – avides de sang. Pourquoi l’auteur n’a pas cité le prénom du condamné ? pour rendre son roman universel – pour attirer la pitié du lecteur. Quel est le lieu de l’exécution ? le palais royal – la place de grève – la tour notre Dame. Quel est son amour d’enfance ? Pepa – Marie – Mery. Quelles sont les personnes que le narrateur a laissé derrière lui ? deux filles et une mère- un garçon, une fille et une épouse – une fille, une femme et une mère. Quel est le nombre des chapitres ? 47 – 48 – 49. Quelle est la date de naissance de l’auteur ? 1815 – 1810 – 1802. Quelle est la date du décès de l’auteur ? 1885 – 1887 – 1889. Où se trouve le narrateur ? dans un cabinet – dans un cachot – dans un cabaret. A quelle peine est-il condamné ? les galères – les travaux forcés – la mort. Par quelle machine sera-t-il exécuté ? la guillotine – la chaise électrique – la potence. Qui va l’exécuter ? un geôlier – un guichetier – un bourreau. Quelle est la situation familiale du condamné ? veuf – marié – célibataire. Par quoi se caractérise la cellule du condamné ? elle est meublée – elle est accueillante – elle est repoussante. Quel est le premier chapitre rédigé à la conciergerie ? chapitre 18 – chapitre 20 – chapitre 22. Quel est le premier chapitre rédigé à l’hôtel de vile ? chapitre 44 – chapitre 46 – chapitre 48. Quelle est l’heure de l’annonce du dernier jour ? six heures – six heures et demie - sept heures. Quel est le spectacle qu’a vu le narrateur dans la cour de la prison chapitre 13 ? l’exécution des forçats – le ferrage des forçats – la fête des forçats. Pourquoi le narrateur est-il emmené à l’infirmerie ? car il a de la fièvre – car il a mal au ventre – car il s’est évanoui. Qu’est-ce qu’il a entendu à l’infirmerie ? la voix d’un oiseau – la femme d’un condamné – une jeune fille de 15 ans. Quel est l’âge de sa mère ? 62 ans – 64 ans – 66 ans. Quelle était la durée de son procès ? trois jours – cinq jours – six jours. Qui est l’un des condamnés qui ont laissé des traces dans la même cellule du condamné ? Charles 10 – papavoine – pepita. Quel est l’âge du condamné qu’a rencontré le narrateur à la conciergerie ? 50 ans – 55 ans – 60 ans. Qu’est-ce que le vieux condamné a pris au narrateur ? une montre – une redingote – une chemise. Quelle est l’image qui fait peur au narrateur ? l’image de la potence – l’image de Bicêtre – l’image de l’échafaud. Pourquoi un sous-Architect est arrivé dans la cellule du condamné ? pour prendre des notes – pour prendre des mesures – pour interroger le narrateur. Comment le narrateur a-t-il caractérisé l’idée de la mort ? elle est heureuse – elle est malheureuse – elle est jalouse. Combien de temps le narrateur a-t-il passé à Bicêtre ? environ 4 semaines – environ 6 semaines – environ 8 semaines. Comment le narrateur a-t-il décrit Bicêtre ? comme une masure – come une chaumière – comme une maison. Qu’a-t-il appris en prison ? le jeux aux cartes – l’espagnole – l’argot. Que désigne l’expression épouser la veuve » ? être guillotiné – être pendu – être tué. Quelle faveur a-t-on accordé au narrateur ? des papiers et une plume – des romans et des revus – des chemises et des pantalons. A quel moment ont commencé les préparatifs du départ des forçats à Toulon ? le matin – à midi – l’après-midi. Par quoi ces préparatifs ont-ils commencé ? par l’entrée d’une charrette – par l’entrée du directeur – par l’entrée des galériens. Qu’est-ce qui s’est passé au narrateur après avoir vu le spectacle du départ des forçats ? il est tombé malade – il a mal à la tête – il s’est évanoui. Quelle est la durée du voyage des forçats ? 23 jours – 25 jours – 27 jours. Qu’est-ce que le narrateur aurait dû faire lorsqu’il était à l’infirmerie ? se suicider – se cacher – s’évader. Quelle est la première personne qui a visité le narrateur dans son dernier jour ? un directeur – un prêtre – un guichetier. Comment le guichetier s’est comporté avec le narrateur ? d’une manière agressive – d’une manière méprisante – d’une manière respectueuse. Quelle est la troisième personne qui a visité le narrateur dans son dernier jour ? le directeur – le prêtre – l’huissier. Qui a annoncé au narrateur le rejet de son pourvoi ? le directeur – le prêtre – l’huissier. Quel est le deuxième lieu de séjour du narrateur ? la conciergerie – Bicêtre – l’hôtel de ville. A quel âge le friauche a-t-il emprisonné pour la première fois ? 6 ans – 9 ans – 17 ans. Le narrateur a accepté d’échanger sa redingote contre la veste du vieil homme par peur – par charité – par insouciance. Qui était avec le narrateur dans sa cellule à la conciergerie ? un bourreau – un gendarme – un guichetier. De qui le narrateur pense-t-il obtenir une grâce ? du procureur général – du directeur – du roi. Comment le narrateur a-t-il considéré l’aumônier de la prison ? un prêtre qui répète un discours sans âme – un prêtre qui donne de la consolation – un prêtre qui a marqué le condamné par son éloquence. Quel genre de prêtre réclame le narrateur ? un prêtre menteur – un prêtre crédible – un prêtre malheureux. Avant d’emmener le narrateur à l’hôtel de ville ils lui ont coupé les oreilles – ils lui ont coupé les mains – ils lui ont coupé les cheveux. Comment s’appelle le bourreau qui exécuterait le narrateur ? Samson – Mardi – Mercredi. Comment le narrateur a-t-il considéré sa cellule à Bicêtre ? une boîte de conserve – une boîte à merveilles – une boîte de pierre. Quel jeu le nouveau gendarme de la conciergerie joue-t-il ? Il joue aux cartes – il joue à la loterie – il joue au tiercé. Quel est l’âge de sa petite file marie ? 2 ans – 3 ans – 4 ans. Qu’est-ce qu’ils lui ont donné une fois arrivé à Bicêtre ? une chemise – un pantalon – une camisole de force. Chapitre 1 Dans ce chapitre le narrateur fait une comparaison entre le passé et le future – le passé et le présent – le présent et le futur. Le passé est symbole de l’obscurité et une seule idée – la liberté et plusieurs idées – l’emprisonnement et une seule idée. Les deux marqueurs temporels employés sont autrefois et maintenant – hier et aujourd’hui – autrefois et actuellement. Sous les larges bras des marronniers » est une métaphore – une antiphrase – une personnification. L’idée qui obsède le narrateur est l’idée de la mort – l’idée de la liberté – l’idée de la prison. L’idée de la mort reparait dans les rêves du narrateur sous-forme d’une lame – d’une épée – d’un couteau. Dans ce chapitre le narrateur se trouve dans un cabinet à Bicêtre – dans un cabinet à la conciergerie – dans une cellule à Bicêtre. Chapitre 2 Quand le narrateur a-t-il condamné ? le mois d’avril – le mois de novembre – le mois d’août. Les spectateurs sont décrits comme des corbeaux – des chacals – des vampires. La durée de la condamnation est 1 jour – 3 jours – 5 jours. Où le narrateur dort-il ? sur un lit – sur un grabat – sur de la paille. Durant les premières nuits, le narrateur n’a pas pu dormir à cause du bonheur et de la gaieté – du bonheur et de la fatigue – d’inquiétude et de terreur. La troisième nuit le narrateur a dormi d’ennui et de fatigue – d’ennui et de terreur – d’ennui et de bonheur. Avant la proclamation du verdict, le narrateur était sûr qu’il va être condamné à mort – qu’il va être condamné aux galères – qu’il va être libéré. La lumière était symbole de la chaleur – la liberté – la mort. L’avocat a pensé que le narrateur sera libéré – condamné à mort – condamné aux travaux forcés. Le narrateur a préféré les galères à la mort – la mort aux galères – la mort à la liberté. La voiture qui l’attendait au bas de l’escalier était blanche, propre et belle – bleue, salle et grillée – noire, sale et grillée. Après la proclamation du verdit, tout est devenu blanc. Cette couleur évoque le bonheur – la sécheresse – le linceul. Chapitre 3 Dans ce chapitre le narrateur pense que tous les hommes seront exécutés à la grève – tous les hommes sont condamnés à mort – tous les hommes seront guillotinés. Le narrateur regrette d’être maltraité et battu – d’être respecté – d’être vénéré. Qu’est-ce qu’on donne au condamné dans sa cellule ? du pain noir et un bouillon délicieux – du pain noir et un bouillon maigre – du pain gris et un bouillon maigre. Le narrateur était éduqué – rebelle – méchant. Chapitre 4 Où le narrateur a-t-il été transféré après sa condamnation à Bicêtre – au tribunal – à la conciergerie. Bicêtre, vu de loin, parait comme une masure – un palis royal – un tombeau. Bicêtre, vu de près, parait comme une masure – un palis royal – un tombeau. On dirait que les murs ont une lèpre » est une comparaison – une métaphore – une hyperbole. Chapitre 5 Une fois arrivé à Bicêtre, ils lui ont donné un couteau – une camisole de force – une fourchette pour ses repas. Les premiers jours, les geôliers et les guichetiers ont traité le narrateur avec cruauté – avec inattention – avec respect. Le respect des guichetiers sent l’échafaud – le bonheur – la liberté. Le narrateur est jeune et rebelle – vieux et docile – jeune et obéissant. Le narrateur sortit avec les autres prisonniers une fois par semaine – deux fois par semaine – trois fois par semaine. Le narrateur parle aussi en Anglais – en Latin – en Arabe. Le préau désigne le café d’une prison – la cellule d’une prison – la cour d’une prison. Parmi les faveurs accordées au narrateur, on trouve l’encre, des papiers, des plumes et un lit – l’encre, du papier un stylo et un bureau – l’encre, des papiers, une plume et une lampe. Qui signifie l’expression rouscailler bigorne » ? se moquer des guichetiers – perdre du temps – parler en argot. Le narrateur a considéré le langage argotique comme une excroissance – la mort – la prison. Que désigne en argot le mot menteuse » l’œil – la main – la langue. Chapitre 6 Le narrateur a décidé d’écrire son autobiographie – son journal de souffrance – ses souvenirs d’enfance. Pourquoi il a décidé d’écrire ? pour que sa fille ne le déteste pas – pour moins souffrir – pour donner une leçon à ceux qui condamnent. Le narrateur insiste sur les souffrances du corps – les souffrances de l’esprit – les souffrances de Marie. Le type de récit employé dans ce chapitre est récit rétrospectif – monologue. Chapitre 7 Le narrateur a décidé d’écrire pour sauver d’autres têtes – sauver sa tête – sauver le juge prêt à juger. Chapitre 8 Dans ce chapitre, le narrateur regrette d’avoir laissé une fille sans père et sans protection – décrit son cachot – compte ce qui lui reste. Chapitre 9 Quel est l’âge et le prénom de sa fille ? marie, deux ans – Pepa, 3 ans – marie, 3 ans. Quel est l’âge de sa mère ? 60 ans – 62 ans - 64 ans. Sa file était douce, brune et frêle – douce, brune et grosse – douce, rose et frêle. Qu’est-ce qui inquiète le narrateur ? sa fille Marie – sa femme – sa mère. Chapitre 10 Quelle est la superficie de son cachot ? 4 pieds carrés – 6 pieds carrés – 8 pieds carrés. Le lit du condamné est sous-forme d’un grabat – d’une bote de paille – d’un banc. Il y a au centre de la porte, vers le haut, une ouverture de 7 pouces carrés – 8 pouces carrés – 9 pouces carrés. Le narrateur est considéré par les curieux qui venaient le voir comme un être humain – un bourgeois – une bête. Chapitre 11 Dans ce chapitre, le narrateur écrit son histoire – décrit les galériens – lit les inscriptions écrites sur les murs de sa cellule. Parmi les images qui étaient dessinées, laquelle a-t-elle fait peur au narrateur ? la figure de Papavoine – la figure d’un chapeau à trois cornes – la figure de l’échafaud. Chapitre 12 Dans ce chapitre, le narrateur écrit son histoire – décrit les galériens – lit les inscriptions écrites sur les murs de sa cellule. Jean Martin est le criminel qui a assassiné sa femme – qui a assassiné sa mère – qui a assassiné des enfants. Où le narrateur sera-t-il enterré ? au cimetière de Clamart – au cimetière de Notre-Dame – au cimetière de Sidi Ali Boughaleb. Chapitre 13 Dans ce chapitre, le narrateur est transféré à la conciergerie – décrit le prêtre – décrit les préparatifs au départ des forçats. Le narrateur a pensé qu’il s’agit du ferrage des forçats – de la fête des forçats – de l’exécution des forçats. La cellule où est mis le narrateur est meublée – démeublée – sans fenêtre. Les argousins ont été accueillis avec des acclamations railleuses – avec des vœux – avec des applaudissements. Les galériens seraient transférés à Toulon – à la conciergerie – à Bicêtre. Les galériens sont sortis après l’ordre de monsieur le directeur – monsieur l’inspecteur – monsieur le procureur du roi. Les prisonniers-spectateurs ont accueilli les galériens avec acclamations et applaudissements – avec menaces – avec insultes et imprécations. Le jeune galérien de 17 ans fait la roue sur lui-même avec agilité d’un tigre – d’une gazelle – d’un serpent. La plupart des galériens avaient des chapeaux en paille – cuir – tissu. La première scène de ce spectacle était le ferrage – le repas – la visite des médecins. Parmi les excuses sanitaires que donnent les galériens oreille mutilée – main mutilée – pied mutilé. Au moment où les galériens commencent à se déshabiller un galérien est décédé – une pluie commence à tomber – les argousins les battent avec violence. Qui s’occupe du ferrage des forçats ? le directeur de la prison – les argousins supérieurs – les forgerons de la chiourme. Les deux forgerons étaient armés de chaînes – de cordes – d’enclumes. Après leur ferrage, les forçats commencent à pleurer – chanter – se lamenter. La dernière scène de ce spectacle est le repas – la visite des médecins – la visite des geôliers. Le narrateur s’est évanoui car il lui a semblé que les forçats ont assailli sa cellule – qu’il était avec les forçats dans la cour – qu’il était ferré. Chapitre 14 Le condamné a été transporté à la conciergerie – à la place de grève – à l’infirmerie. Le narrateur étant dans un lit d’hôpital, sentait une sensation de froid – une sensation de chaleur – un sentiment de dégoût. Ce qui a éveillé le narrateur c’était la chanson d’une jeune fille – les infirmiers pressés autour de son chevet – le bruit des charrettes qui transportaient les galériens. Le nombre des charrettes, chargés des forçats, est 3 charrettes – 5 charrettes – 7 charrettes. Ce jour-là, il y avait de la pluie – du soleil splendide – de la neige. Un horrible dialogue s’est établi entre les forçats et les argousins – les postillons – la foule. Dans la 6ème charrette, il y a le directeur, l’inspecteur et les argousins – des enclumes et des marteaux – des chaudières, des gamelles et des chaînes. Le narrateur a préféré le couteau de la guillotine au carcan de la chiourme – les galères à la mort – les galères à la potence. Chapitre 15 Le narrateur a une maladie contagieuse – bénigne – mortelle. Quelle est l’idée qui torture le narrateur après avoir quitté l’infirmerie ? il aurait dû se cacher – il aurait dû s’évader - il aurait dû se suicider. le pourvoi, est une corde qui vous tient suspendu qu-dessus de l’abîme » est une comparaison – une hyperbole – une métaphore. Le narrateur est sûr qu’il serait libéré – qu’il serait gracié – que son pourvoi serait rejeté. Les trois pas qu’il va faire sont Bicêtre, la conciergerie et l’hôtel de ville – Bicêtre, l’hôtel de ville et la place de grève - Bicêtre, le tribunal et l’hôtel de ville. Chapitre 16 Lorsque le narrateur était à l’infirmerie, il a entendu une jeune fille – un oiseau – une infirmière. La chanson était en langage soutenu – argotique – courant. La chanson parlait d’un assassin condamné à mort – d’un assassin condamné aux galères – d’un voleur qui était libéré. La jeune fille avait 14 ans – 15 ans – 16 ans. Chapitre 17 Le narrateur imagine le sommeil – le retour à son enfance – l’évasion. Qu’est-ce qui a empêché de réaliser son rêve ? un gendarme – la rivière – le mur épais. Chapitre 18 La personne qui a visité le condamné est Le directeur – le guichetier – le prêtre. Le visiteur a traité le narrateur avec respect – raillerie – inattention. Quel est le sentiment du narrateur ? le bonheur – la peur – la tristesse. Chapitre 19 Quelle est la deuxième personne qui a visité le narrateur ? le directeur – le guichetier – le prêtre. Chapitre 20 Le narrateur pense que la prison est une espèce d’être complet et indivisible – tout autour de lui est prison – la prison est sous toutes les formes. Chapitre 21 Le prêtre est un jeune homme à tête noire – un vieillard à tête blanche – un jeune homme à tête blanche. La deuxième personne qui est entrée après le prêtre est l’huissier – l’inspecteur – le procureur du roi. Cette dernière personne a annoncé au narrateur qu’il serait libéré – qu’il était condamné aux galères – qu’il serait exécuté ce jour-là. Chapitre 22 A quelle heure le narrateur a-t-il été transféré à la conciergerie ? à 0630 – à 0730 – à 0830. Combien de personnes ont-ils accompagné le narrateur ? 6 – 7 – 8 personnes. Ce jour-là, il y avait de la neige – du soleil – de la pluie. Dans le compartiment de devant, sont montés le prêtre et un gendarme – l’huissier et un gendarme – deux gendarmes. L’inscription qui est gravée au-dessus de la porte de Bicêtre est hôpital de fous – palais de Bicêtre – hospice de la vieillesse. L’huissier a perdu son tabac – son chapeau – sa montre. A quelle heure sont-ils arrivés à la conciergerie ? à 0830 – à 0930 – à 1030. Chapitre 23 Le narrateur a été mis dans une cellule – dans un cachot – dans un cabinet. Qui était avec le narrateur dans le même cabinet ? un friauche – un forçat – un fou. Le nouveau condamné avait 55 ans – 53 – 51 ans. Le nouveau condamné était ridé, jeune et maigre – jeune, gros et grisonnant – ridé, voûté et grisonnant. A quel âge le nouveau condamné était-il déjà sans parents ? à 6 ans – à 7 ans – à 9 ans. A quel âge le friauche a-t-il été emprisonné pour la première fois ? de 15 ans jusqu’à 32 ans – de 17 ans jusqu’à 30 ans – de 17 ans jusqu’à 32 ans. Lorsque le friauche a été libéré, ils lui ont donné 65 francs – 66 francs – 67 francs. Ils lui ont donné également un passeport jaune – un passeport rouge – un passeport vert. Qu’est-ce que le friauche a-t-il volé pour mériter les galères à perpétuité ? une montre – un manteau – du pain. Après avoir été condamné aux galères à perpétuité, le friauche s’est suicidé – s’est gracié – s’est évadé. Quelle est la dernière peine laquelle le friauche est-il condamné ? la mort – les galères – la prison de 50 ans. Le friauche a demandé au narrateur sa redingote parce qu’il fait froid – pour la donner aux geôliers – pour la vendre et acheter du tabac. Chapitre 24 Le narrateur a donné sa redingote au narrateur par insouciance – par charité – par peur. Le narrateur avoue qu’il est devenu méchant – gentil – respectueux. Chapitre 25 Où ont-ils amené le narrateur ? dans une cellule – dans un cabinet – dans une chambre très vaste. A partir du chapitre 24, où le friauche a-t-il été conduit ? à une autre cellule – à la grève – à Bicêtre. Un gendarme s’est installé dans la même cellule du narrateur de peur que ce dernier s’évade – de peur que ce dernier écrive un placet au roi – de peur que ce dernier se suicide. Chapitre 26 Où le narrateur sera-t-il enterré ? à Bicêtre – à Clamart – à la place de grève. Combien lui reste-t-il pour la mort ? 4 heures – 6 heures – 8 heures. A qui le narrateur adresse-t-il ses paroles ? à sa fille Marie – au directeur de la prison – au roi. Le narrateur décrit sa fille Marie description physique de façon favorable – de façon valorisante – de façons dévalorisante. Chapitre 27 La chose dont le narrateur parle et qui est effroyable est la mort – la place de grève – la guillotine. Chapitre 28 Un jour, le narrateur a vu l’échafaud, c’était vers 10 heures – 10 heures et demie – 11 heures. Chapitre 29 Le narrateur espère la grâce – la prison de 25 ans – l’évasion. Le narrateur préfère la guillotine aux galères – les galères à la liberté – les galères à la mort. Chapitre 30 La personne qui est entrée dans la cellule du narrateur est le directeur – un guichetier – le prêtre. Comment le narrateur a-t-il considéré le narrateur ? come un croyant pratiquant – comme un véritable croyant – comme un impie. Le narrateur a trouvé les paroles du prêtre sans influence – sincères – consolantes. Le narrateur réclame un prêtre menteur – un prêtre sincère – un prêtre méchant. C’est lui qui est bon et moi qui suis mauvais » est une hyperbole – une métaphore – une antithèse. On lui a apporté de la nourriture. Il s’agit d’un poulet et autre chose – de la viande et autre chose – d’un ragoût et autre chose. Le narrateur n’a pas pu manger car la nourriture lui a paru fétide – il pense à la mort – il n’avait pas faim. Chapitre 31 La personne qui est entré dans sa cellule est un prêtre – un sous-architecte – un gendarme. Une personne est entrée dans la cellule du condamné pour demander sa redingote – le surveiller – prendre des mesures. Chapitre 32 Le registre employé dans ce chapitre est comique – lyrique – tragique. Le nouveau gendarme joue aux cartes – au tiercé – à la loterie. Le nouveau gendarme a demandé au narrateur 3 numéros – 4 numéros – 5 numéros. Le narrateur a promis au nouveau gendarme 3 numéros – 4 numéros – 5 numéros. Quelle était la condition du narrateur ? le gendarme doit payer une somme d’argent – le gendarme doit le libérer – le gendarme doit changer d’habits avec lui. Chapitre 33 Le ton employé dans ce chapitre est comique – lyrique – tragique. Son amoureuse d’enfance s’appelait Sophie – Pepa – Marie. Chapitre 34 Le narrateur veut se libérer – se cacher – se repentir. Ma belle jeunesse ! Étoffe dorée dont l’extrémité est sanglante » est une comparaison – une périphrase – une métaphore. Chapitre 35 Le narrateur imagine les tortures qui se trouvent autour de lui – la liberté qui se trouve autour de lui – les prisonniers qui se trouvent autour de lui. Chapitre 36 Le narrateur évoque le souvenir de sa fille Marie – des trois jours de condamnation – du bourdon de Notre-Dame. Chapitre 37 L’hôtel de ville se trouve de plain-pied avec la conciergerie – la place de grève – le palais de justice. Chapitre 38 Le narrateur a des tressaillements convulsifs – mal au ventre – une main mutilée. Combien lui reste-t-il pour la mort deux heures – deus heures et demie – deux heures et 45 minutes. Chapitre 39 Qu’est-ce que les autres pensent ? que la mort de cette façon est simple – que la mort de cette façon est douloureuse – que la guillotine cause de la douleur. Parmi ceux qui étaient guillotinés, le narrateur a cité Charles 10 et Papavoine – Robespierre et Louis 16 – Casting et Modespierre. Chapitre 40 Le narrateur espère la grâce du directeur – du prêtre – du roi. Le narrateur espère la grâce de Louis 16 – Charles 10 – Robespierre. Avec cette différence qu’il est aussi haut que tu es bas » est une antithèse – une antiphrase – un oxymore. Chapitre 41 Le narrateur imagine l’échafaud entouré par la foule – ce qui se passera après sa mort – la guillotine et ses valets. Chapitre 42 Je l’ai prié de me laisser dormir », l’ » remplace le directeur – le guichetier – le prêtre. Le narrateur a fait du sport – le ménage – un rêve. Combien le narrateur a-t-il dormi ? une heure – deux heures – trois heures. Au moment où le narrateur s’est réveillé, l’aumônier lisait un livre – lisait un journal – lisait des prières. Dans son rêve, qu’est-ce que le narrateur a mis sous le menton de la vieille ? une lampe – un couteau – une bougie. Chapitre 43 Pourquoi la mère n’est pas venue avec sa fille ? car elle n’a pas voulu voir son mari – car elle déteste son mari – car elle était malade. Le registre employé dans ce chapitre est pathétique – comique – lyrique. Marie a appelé son père papa – mon père – monsieur. Marie pense que son père est au travail – son père est déjà mort – son père est à la maison. La fille du narrateur lisait une feuille qui contient des fables – la sentence de mort de son père – une page du dernier jour d’un condamné ». Chapitre 44 …à la foule sur le pont, à la foule sur le quai, à la foule aux fenêtres… » est une métaphore – une hyperbole – une anaphore. Combien de temps reste-t-il à l’exécution ? 1 heure – 2 heures – 3 heures. Chapitre 45 Le narrateur pense qu’il y a sur un certain point de la grève un piège – un clochet – une pendule. Chapitre 46 Le narrateur pense au roi Charles 10 – au roi Charles 11 – à sa fille Marie. Le narrateur a décidé d’écrire un placet au roi – son histoire à sa fille – son journal de souffrance. Chapitre 48 Ce chapitre est rédigé à l’hôtel de ville – à la conciergerie – au palais de justice. l’horrible peuple qui aboie » est une métaphore – une hyperbole – une personnification. Le bourreau a 2 valets – 3 valets – 4 valets. Le valet du bourreau s’appelle lundi – mardi – mercredi. Le narrateur a décrit les spectateurs comme cruel et avides – gentils et respectueux – triste et en colère. Cet atroce éloge » est une métaphore – antithèse – oxymore. La place a éclaté en brui »t est métaphore – oxymore – métonymie. Chapitre 49 Le narrateur demande la mort – le soutien moral – la grâce. Le narrateur est présenté dans une attitude suppliante – de courage – d’insouciance. 250. Le bourreau rappelle au juge le nom du narrateur – le caractère urgent de l’exécution – le lieu où le condamné sera enterré
Ecoles du MondeRésumé de ' Le dernier jour d'un condamné' de Victor HUGO - good luck , by Mustapha Mouchane Présentation du roman Ce roman a été écrit par Victor HUGO en 1829, il est composé de 49 chapitres et il a 97 HUGO traite différents thèmes dans cette œuvre comme la liberté ou l’absence de liberté et la peine de mort à laquelle il s’opposait Victor HUGO parlait ainsi de la guillotine L’infâme machine partira de France, nous y comptons, et s’il plaît à Dieu, elle partira en boitant, car nous tâcherons de lui porter de rudes coups. » La peine de mort fut abolie seulement en 1981 La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie ». Paroles du 15 septembre 1848. En 1851, il l’a dénoncée en plein tribunal Cette vieille et inintelligente loi du talion… » je la combattrai de tous mes efforts comme écrivain, de tous mes actes de tous mes votes comme législateur, je le déclare devant cette victime de la peine de mort qui est là, qui nous regarde et qui nous entend ! il montre le Christ sur la croix . Je le jure devant ce gibet où, il y a deux mille ans, pour l’éternel enseignement des générations, la loi humaine a cloué la loi divine ! » Paroles du 11 juin 1851 . Biographie Victor Hugo 1802-1885 Victor Hugo est né le 26 Février 1802 à Besançon en France. Poète, romancier et dramaturge, Victor Hugo est sans conteste l'un des géants de la littérature française. Les romans les plus connus de Victor Hugo sont "Notre-Dame de Paris" 1831 et "Les Misérables" 1862. L'auteur des Misérables, des Châtiments et de nombreux poèmes a allié à la fois ambition, longévité, puissance de travail et génie, ce qui ne pouvait que concourir à ce mélange de fascination et d'irritation qu'il suscite encore aujourd'hui. I écrivait avec simplicité et puissance les bonheurs et malheurs de la vie. Victor Hugo était un travailleur acharné. Entre 1827 Préface de son drame Cromwell et 1830 représentation d'Hernani, qui est l'occasion d'une célèbre bataille», Victor Hugo s'affirme comme le chef du romantisme. De 1830 à 1840, il publie un grand roman historique, Notre-Dame de Paris 1831 ; des drames, Marion de Lorme 1831, Le roi s'amuse 1832, Marie Tudor 1833, Lucrèce Borgia 1833, Ruy Blas. 1838; et surtout quatre recueils de poésies, où il se montre maître dans l'expression lyrique des idées et des sentiments les Feuilles d'automne 1831, les Chants du crépuscule 1835, les Voix intérieures 1837, les Rayons et les Ombres 1840. Victor Hugo est mort à Paris le 23 May 1885 à 83 ans. Plus de 3 millions de personnes ont assisté à ses funérailles.. Livres écrits par Victor Hugo Les Misérables Auteur Victor Hugo C'est un tel classique qu'on a toujours l'impression de l'avoir déjà lu... ou vu avec Michel Bouquet dans le rôle de Javert, ou bien Depardieu. Relire donc Les Misérables, publié par Victor Hugo en 1862, offre le plaisir de la reconnaissance et du recommencement. Toujours on sera emporté par la tension romanesque du livre, ses figures inoubliables, ses langues multiples - n'oublions pas que Victor Hugo est le premier à introduire l'argot et la langue populaire dans le français écrit -, ses histoires et son temps. Notre-Dame de Paris Auteur Victor Hugo Dans un Paris moyenâgeux, la belle Esmeralda fait battre le cœur de tous. Mais la jeune gitane est accusée de sorcellerie et doit être pendue. Quasimodo, le bossu au grand cœur, est prêt à se battre, envers et contre tous, pour la sauver. Ce roman de Victor Hugo est un véritable chef d'œuvre. Victor Hugo, Théâtre complet Auteur Victor Hugo Édition de Jean-Jacques Thierry et de Josette Mélèze, préface de Roland Purnal. Tome 1 . Théâtre de jeunesse Irtamène - À quelque chose hasard est bon - Inez de Castro - Amy Robsart. Drames en vers Cromwell - Marion de Lorme - Hernani - Le Roi s'amuse - Ruy Blas - Appendice, 1840 pages. Tome 2. Drames en vers suite Les Burgraves - Torquemada. Drames en prose Lucrèce Borgia - Marie Tudor - Angelo, tyran de Padoue. Théâtre lyrique La Esmeralda. Théâtre en liberté La Grand-mère - L'Épée - Mangeront-ils? - Sur la lisière d'un bois - Les Gueux - Être aimé - La Forêt mouillée. Théâtre moderne Mille francs de récompense - L'Intervention - Fragments - Appendice, 1936 pages. Bibliothèque de la Pléiade No 170, Gallimard. Fiche pratique Auteur Victor Hugo Titre et date de publication Le dernier jour d'un condamne , publié en 1829. Genre Récit à la première personne ; adoption des techniques de l’autobiographie, le journal intime en particulier. Histoire Le livre est l’histoire d’un homme qui a été condamné a mort et, il raconte ce qu’il vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire être condamnés à mort. Il nous raconte sa vie en prison ; nous parle de ses sentiments ; peurs et espoir, de sa famille ; sa fille, sa femme et sa mère. Il raconte aussi quelques bribes de son passé et cesse d’écrire quand arrive le moment de l’exécution. Composition Le livre comporte trois parties Bicêtre, la Conciergerie et la Mairie. Bicêtre le procès, le ferrage des forçats et la chanson ; La Conciergerie le voyage vers Paris, la rencontre avec la friauche et la rencontre avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer à la loterie ; L’Hôtel de Ville le voyage dans Paris, la toilette du condamné et le voyage vers la Place de Grève l’échafaud. Personnages Le condamné à mort / Les geôliers / Sa fille / Sa femme et sa mère / Le prêtre. / La foule Cadre Lieux Les grandes prisons de Paris Bicêtre, la Conciergerie et l’Hôtel de Ville. Durée Cinq semaines, à partir du moment où le protagoniste est condamné à mort jusqu’au moment où il monte sur l’échafaud. Thèmes La peine de mort / La peur / la haine / la religion / la violence contre les prisonniers / l’injustice / la justice Enonciation, focalisation Le narrateur est le personnage utilisation de la première personne. Le narrateur l’auteur. Focalisation interne accès au point de vue du narrateur et à sa vision des choses et du monde.. CADRE SPATIO-TEMPOREL L’histoire se passe dans les grandes prisons de Paris Bicêtre, la Conciergerie et l’Hôtel de Ville. Elle dure cinq semaines, le temps qui passe depuis le moment où le protagoniste est condamné à mort jusqu’au moment où il monte sur l’échafaud pour être guillotiné. Chapitre I 5 semaines ». Chapitre VIII le narrateur dresse un calendrier approximatif du temps qu’il lui reste à vivre il est déjà dans la dernière semaine. synopsis Le livre se présente comme le journal qu'un condamné à mort écrit durant les vingt-quatre dernières heures de son existence et où il relate ce qu'il a vécu depuis le début de son procès jusqu'au moment de son exécution soit environ six semaines de sa vie. Ce récit, long monologue intérieur, est entrecoupé de réflexions angoissées et de souvenirs de son autre vie, la vie d’avant. Le lecteur ne connaît ni le nom de cet homme, ni ce qu’il a fait pour être condamné il existe quelques vagues indications qui laisseraient croire qu’il a tué un homme l’œuvre se présente comme un témoignage brut, à la fois sur l’angoisse du condamné à mort et ses dernières pensées, les souffrances quotidiennes morales et physiques qu’il subit et sur les conditions de vie des prisonniers, par exemple dans la scène du ferrage des forçats. Il exprime ses sentiments sur sa vie antérieure et ses états d’âme… Le personnage principal Le personnage du roman est un être ordinaire, ni un héros, ni un truand. Il semble cultivé, sait lire et écrire et connaît même quelques mots en latin. La richesse de son vocabulaire fait contraste avec l'argot parlé par la friauche ou chanté par la jeune fille. Mais on ne décèle en lui aucune grandeur particulière, il est le jouet de sentiments classiques la peur, l'angoisse, la colère, l'amertume, la lâcheté, l'égoïsme, le remord... Jusqu'au bout, il espère sans y croire un grâce royale qu'il n'obtiendra jamais. On découvre quelques bribes de sa vie passée il a une mère et une femme qui sont évoquées brièvement, l'homme semble être résigné sur leur sort. On s'attache plus longuement sur l'évocation de sa fille Marie qui est la seule visite qu'il reçoit avant son exécution mais qui ne le reconnaît pas et croit son père déjà mort. Il raconte aussi sa première rencontre amoureuse avec Pepa, une fille de son enfance. On ne sait rien de son crime, sinon qu'il reconnaît mériter la sentence et qu'il tente de s'en repentir. Croyant, il n'a cependant pas une spiritualité telle qu'il puisse trouver dans la prière la consolation, ni suivre le discours du prêtre qui l'accompagne du matin jusqu'à l'heure de son exécution. Le faux chapitre XLVII, censé raconter sa vie est vide. Victor Hugo s'est longuement expliqué sur l'anonymat de son personnage. Il ne voulait pas qu'on puisse s'attacher à l'homme, en faire un cas particulier, dire celui-là ne méritait pas de mourir mais d'autres peut-être.... » Il devait représenter tous les accusés possibles, innocents ou coupables car selon Victor Hugo, la peine de mort est une abomination pour tous les condamnés. Tanawiyaty Le schéma narratif du récit Situation initiale Le personnage-narrateur menait une vie heureuse avec sa famille, sa fille Marie, sa femme et sa mère jusqu'au jour du crime qui a bouleversé sa vie. NB Le récit commence in medias res c'est-à-dire le moment où l'action est déjà engagée. Puisque le plus important est la contestation de la peine de mort, l'auteur fait ellipse de cette situation initiale et passe directement aux faits. Toutefois il nous est facile de déduire cette situation initiale à travers les flashes back. Analepses, retour en arrière. Elément perturbateur Le meurtre commis par le narrateur-personnage. Péripéties Le jugement, l'emprisonnement, la condamnation à la peine de mort, recherche du condamné d'une solution pour préserver sa vie. Dénouement Il n'y a pas de dénouement. Le condamné garde l'espoir jusqu'à quelques moments avant l'exécution, mais à ce moment-là les bourreaux préparent l'exécution. C'est une clausule ouverte, aux lecteurs d'imaginer la fin puisque pour l'auteur ce qui compte c'est la dénonciation de l'horrible peine de mort. Situation finale L'auteur a fait l'ellipse de la situation finale pour amener le lecteur à réfléchir. Le schéma actanciel du récit Personnages le condamné à mort nous ne savons ni son nom ni ce qu’il a fait pour être condamné a mort. Il a très peur et il voudrait être sauvé par la grâce du roi, mais il sait que cela est impossible. Il semble s’être repenti pour ce qu’il a fait. Il est jeune, sain et fort, il a une bonne éducation il cite des phrases en latin au concierge qui lui permet de faire la promenade une fois par semaine avec les autres détenus, chap. V ; second tome des voyages de Spallanzani dont il lit quelques pages à côté d’une jeune fille, Il dit que pour lui le temps passe plus vite que pour les autres. Il n’aime pas la foule et il ne l’aimera jamais et lui-même n’a jamais aimé voir tuer un condamné à mort. Il aime sa fillette Marie et est très préoccupé pour son futur chap. XXVI "Quand elle sera grande ... Elle rougira de moi et de mon nom ; elle sera méprisée, repoussée, vile à cause de moi qui l’aime de toutes les tendresses de mon coeur." les geôliers quelqu’uns sont gentils avec le protagoniste ; d’autres ne le sont pas. Il y a des geôliers qui parlent avec lui et lui demandent beaucoup de choses et d’autres qui le traitent comme un animal. Sa fillette Elle s’appelle Marie et elle a trois ans au moment de sa visite en prison. C’est une fillette qui a très envie de vivre. Mais quand elle parle avec le protagoniste, elle dit que son père est mort c’est ce que lui a dit sa mère elle ne reconnaît plus son père qu’elle ne voit plus depuis plusieurs mois. Sa femme et sa mère Elles ne sont pas décrites ; mais elles sont citées en référence à la souffrance, à la peine indirecte que l’on fait subir aux membres de la famille du condamné a mort "J’admets que je sois justement puni ; ces innocentes qu’ont-elles fait ? N’importe ; on les déshonore, on les ruine. C’est la justice." Le prêtre Il est détaché dans ses rencontres avec le condamné. Selon le protagoniste, ce prêtre ne parle par avec son coeur, mais dit seulement de façon machinale ce qu’il dit habituellement avec les condamnés. La foule C’est la société de Paris qui veut voir tuer cet homme. Elle est très nombreuse. Elle ne veut pas la justice ; elle veut simplement assister à un spectacle celui de l’exécution de la peine capitale par la guillotine. On peut donc affirmer que de quelque manière la foule et le condamné sont proches l’une de l’autre au niveau moral. Dans la prison de Bicêtre, un condamné à mort le narrateur attend le jour de son exécution. Jour après jour, il note ses angoisses, ses espoirs fous et ses pensées. Le narrateur nous rappelle les circonstances de son procès chapitres 1/9 .Puis il nous décrit sa cellule chapitre 10/12 . Il évoque ensuite le départ des forçats au bagne de Toulon chap. 13/15 . Il nous rapporte la complainte en argot d'une jeune femme à l'infirmerie chapitre 16 .Désespéré, il décide alors de s'évader chapitre17. on vient lui apprendre que son exécution aura lieu le jour même. chapitre 18/19 . Le narrateur sera transféré ensuite à la conciergerie chap. 22 , il y rencontre un autre condamné à mort chap. 23/24. Son séjour en prison devient de plus en plus suffocant .il sombre dans les hallucinations et les cauchemars .Il se demande comment on meurt sous la guillotine. chap. 27. Il reçoit après la visite d'un prêtre qu'il trouve placide et sans compassion devant son état. chap30 La visite de sa petite fille Marie sera évoquée au chapitre 43. Elle ne le reconnaitra pas, ce qui l'attriste profondément. Puis vient l'ultime ligne droite avant la mort; son dernier jour de condamné. Sur son passage de la conciergerie à la place de Grève où se dresse l'échafaud, la foule rit et applaudit le condamné était donné en spectacles à cette foule qu'il n 'a jamais aimé d'ailleurs. Devant le spectre de la mort, le narrateur tremble et implore la pitié mais il sait déjà que son sort est scellé. Le bourreau accomplit alors sa tâche pour décapiter le condamné. Le livre est l'histoire d'un homme qui a été condamné a mort et, alors, il se propose d'écrire ce qu'il vit pendant ses dernières semaines de vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu'il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire être condamnés à mort. Cet homme nous dit tout ce qu'il fait quand il est en prison ; il devient aussi le spectateur de la scène horrible du ferrage des forçats. Puis il pense au moment où il devra aller à la guillottine ; il a peur mais il ne veut pas que les autres le sachent. Il continue à espérer dans la grâce qu'il n'aura jamais. Il nous parle aussi de sa fille et du jour où il a pu la voir et il nous dit qu'il a été content parce qu'il a pu la voir, mais il n'est pas content parce qu'elle ne l'a pas reconnu. Il nous décrit quelque aspect de son passé une rencontre avec une jeune fille; il décrit des monuments qu'il a vus. Il cesse d'écrire quand le moment de l'exécution est arrivée "Quatre heures". Le livre est séparé en trois parties Bicêtre, la Conciergerie et la Mairie qui sont elles-mêmes séparées en trois parties Bicêtre le procès, le ferrage des forçats et la chanson ; la Conciergerie le voyage vers Paris, la rencontre avec la friauche et la rencontre avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer à la loterie ; enfin l'Hôtel de Ville le voyage dans Paris, la toilette du condamné et le voyage vers la Place de Grève où est installé l'échafaud. Composition de l’œuvre. Le livre est découpé en 49 chapitres de longueurs très variables allant d'un paragraphe à plusieurs pages. Victor Hugo rythme ainsi la respiration du lecteur et lui fait partager les états d'âme du condamné, ses éclairs de panique et ses longues souffrances. On distingue trois lieux de rédaction Bicêtre où le prisonnier évoque son procès, le ferrage des forçats et la chanson en argot. C'est là qu'il apprend qu'il vit sa dernière journée. La Conciergerie qui constitue plus de la moitié du livre. Le condamné y décrit son transfert vers Paris, ses rencontres avec la friauche, l'architecte, le gardien demandeur de numéros de loterie, le prêtre, sa fille. On partage ses souffrances, son angoisse devant la mort, sa repentance, sa rage et son amertume. Une chambre de l'Hôtel de Ville où sont écrits les deux derniers chapitres, un très long relatant sa préparation et le voyage dans Paris jusqu'à la guillotine, l'autre très court concernant les quelques minutes qui lui sont octroyées avant l'exécution. On remarque aussi plusieurs rétrospectives qui sont souvent des chapitres Chapitre II Le procès Chapitre IV et V le transfert et la vie quotidienne à Bicêtre Chapitre XIII et XIV le ferrage et le départ des forçats Chapitre XXVIII le souvenir de la guillotine Chapitre XXXIII Pepita Descriptions présentes celle de Bicêtre au chapitre 4 celle du cachot au chapitre 10 celle de l’Hôtel de Ville au chapitre 37 celle de la place de Grève au chapitre 3 Diverses informations chapitre 8 l’homme compte les jours qu’il lui reste à vivre chapitre 9 l’homme pense à sa famille chapitre 13 le ferrage des forçats chapitre 16 chanson d’une jeune fille lorsque l’homme séjourne à l’infirmerie chapitre 22 transfert du prisonnier à la Conciergerie chapitre 23 rencontre du successeur au cachot de Bicêtre chapitre 32 demande du gendarme par rapport aux numéros de la loterie chapitre 42 rêve avec la vieille dame chapitre 43 le condamné voit une dernière fois sa petite fille qui ne le reconnaît pas chapitre 48 transfert à l’Hôtel de Ville toilette du condamné on emmène le prisonnier à la guillotine. Tanawiyaty Résumé chapitre par chapitre 1 Résumé du chapitre I Le roman s’ouvre par une réflexion sous forme d’un monologue interne Interprété dans sa cellule de Bicêtre, le narrateur se rappelle son passé de liberté cependant il se trouve prisonnier de l’idée de sa condamnation à mort. Cette pensée l’obsède et infecte sa vie. Elle est présentée comme une femme à deux bras qui le secoue, hante ses rêves et le poursuit partout. Résumé du chapitre II Récit de la proclamation de la condamnation à mort Le narrateur relate les événements passés le jour de la proclamation de sa condamnation à mort. Il décrit aussi les juges, les jurés, la salle d’audience, l’atmosphère qui y régnait et les gens qui ont assisté à son procès. Séduit par les lumières, par les couleurs, par les bruits, le narrateur chante la vie à travers ses sensations et ses impressions dans une ambiance totalement contradictoire. Alors qu’il semble apprécier la vie dans toutes ses dimensions, les jurés le condamnent à mort et brisent son espoir. Tout redevient noir et triste à ses yeux. Résumé chapitre III Retour au monologue interne Le narrateur se livre à une réflexion sur le bien-fondé de sa condamnation à mort. Il estime que les humains sont tous des condamnés à mort. Ce qui diffère c’est la manière et le temps. Résumé chapitre IV Retour au récit de l’incarcération à Bicêtre L’arrivée à Bicêtre. En attendant son pourvoi =recours auprès d'une juridiction supérieure contre la décision d'un tribunal en cassation, le narrateur est conduit à la prison de Bicêtre. De loin le prison ressemble à un château de roi mais de plus près elle est délabrée=en ruine, dans un très mauvais état et vétuste =qui porte les marques de la vieillesse. Résumé du chapitre V Suite du récit de l’incarcération à Bicêtre Lorsque le narrateur est arrivé à Bicêtre, les gardes lui ont défendu tout objet tranchant qui pourrait servir à un suicide puis ils lui ont remis une camisole. Durant les premiers jours de ses séjours à Bicêtre le narrateur a été bien traité mais battu par la suite comme n’importe quel prisonnier. Cependant certaines faveurs lui ont été acceptées comme le papier, l’encre, les plumes et une lampe. De même, il pouvait sortir dans la cour chaque dimanche, ainsi il a côtoyé les autres prisonniers et a appris leur argot. Résumé du chapitre VI Alors le narrateur a décidé de noter son journal de châtiments. L’écriture devient une justification à la vie terne et monotone de la prison. Il décide d’écrire pour communiquer ses souffrances morales afin d’amener les décisions a abolir la peine de mort. Il réalise à qu’ il s’attache à la vie. Résumé du chapitre VII Le narrateur s’attarde sur sa situation et espère qu’on s’intéresserait un jour à son cas. Mais l’idée de sa condamnation continue de l’obséder et le torturer Résumé du chapitre VIII En attendant son pourvoi en en cassation, le narrateur passe son temps à compter les jours qui lui restent à vivre, il lui reste donc six semaines. Résumé du chapitre IX Le narrateur regrette de laisser derrière lui sa femme, sa mère et surtout sa fille de trois ans sans protection et sans ressources. Résumé du chapitre X Le narrateur décrit sa cellule, c’est une petite pièce à quatre murs en pierre avec une voûte et une petite porte en fer où il y a une petite ouverture servant de fenêtre. Il y a aussi un matelas en paille. A l’extérieur il y a un couloir qui relie les autres cellules et un garde permanent Résumé du chapitre 11 Pour passer le temps le narrateur lit et tente de comprendre les inscriptions et les dessins sur les murs de sa cellule. Attiré par des mots écrits par un sous-officier guillotiné pour ces idées républicaines, il est pris de panique à la vue de l’échafaud dessiné sur le mur. Résumé du chapitre 12 Le narrateur découvre les noms de quatre criminels célèbres passés par la même cellule. Les sont écrits à coté du nom de Papavoine, un criminel qui tuait les enfants. Il est alors pris de terreur à l’idée de la mort et du tombeau. Résumé du chapitre 13 Récit des préparatifs au départ des forçats pour Toulon Le narrateur raconte qu’un jour la prison était très agitée par le départ des forçats pour Toulon, Mis dans une autre cellule pour suivre ce spectacle à travers une fenêtre, le narrateur s’attarde sur la description de la grande cour de Bicêtre, des bâtiments vétustes, des fenêtres grillées et principalement sur les visages des prisonniers qui regardent à travers ces fenêtres. Le spectacle du départ commence à midi avec l’entée =greffer d’une charrette transportant des chaînes servant à attacher les forçats et portant les habits qu’ils vont mettre pour le départ. Ensuite, les argousins étendent ces chaînes dans un coin de la cour. Quand ce travail est fini, l’inspecteur donne l’ordre au directeur pour laisser enter les forçats dans une petite cour où ils sont acclamés par les prisonniers / spectateurs. Puis on les présente à l’appel après leur avoir fait passer une visite médicale. Au moment où les forçats se préparent pour mettre les vêtements du voyage, une pluie torrentielle commence à tomber. Accablés de froid dans leur nudité, les forçats chantent leurs malheurs. Enfin, on les enchaîne dans des cordons que deux forgerons fixent à leurs pieds et on leur donne à manger. Ce spectacle désolant rend le narrateur enragé, il tente de s’enfouir mais il n’arrive pas et s’évanouit sur le champ. Résumé du chapitre 14 Après s’être transporté à l’infirmerie, le narrateur a repris connaissance, il s’est enroulé ensuite dans ses draps et sa couverture dont la chaleur lui a donné l’envie de se rendormir. Mais le bruit de cinq charrettes transportant les forçats le réveille. Conduit par des gendarmes à cheval et des argousins à pieds, le convoi prend départ pour un voyage de vingt cinq jours de souffrances et de misères. Emu par ce spectacle désolant, le narrateur préfère la guillotine à la galère. Résumé du chapitre 15 Retour au cachot, le narrateur est remis dans son cachot. L’idée de sa condamnation continue de le torturer moralement au point où il espère obtenir une grâce car il tient à la vie plus que jamais. Mais il est trop tard. Résumé du chapitre 16 Quand le narrateur était à l’infirmerie, il avait entendu la voix d’une jeune fille de quinze ans chanter une chanson où il est question d’assassinat et de mort. Il fut terrifié parce que tout est prison à Bicêtre, tout lui rappelle la mort. Résumé chapitre 17 Le narrateur rêve d’évasion mais son rêve ne peut être réalisé, il est interrompu par l’idée de l’incarcération et de la condamnation. Résumé du chapitre 19 Le directeur de la prison rend visite au narrateur dans son cachot pour lui demander s’il se plaint d’un quelconque mauvais traitement. Pris de panique, le narrateur croit que l’heure de son exécution est venue. Résumé du chapitre 20 Terrifié, le narrateur imagine la prison comme une sorte de monstre à moitié humain, à moitié objet qui le torture, le boire et le tue. Résumé du chapitre 21 A six heures et demi du matin le narrateur a été visité dans son cachot par un prêtre puis par l’huissier officier ministériel chargé de signifier les actes de procédure et de mettre à exécution les jugements de la Cour royale de Paris qui lui apprendre le rejet de sa demande du pourvoi en cassation et son transfert à la Conciergerie. Résumé du chapitre 22 Le narrateur quitte son cachot et se fait conduire dans la voiture qui l’a ramené à Bicêtre vers Paris, le convoi arrive à Paris vers huit heures et demi du matin. La foule, avide de sang, s’est déjà attroupée pour ne pas manquer l’exultation. Résumé du chapitre 23 Une fois arrivé au Palais de Justice, le narrateur s’est senti investi d’une certaine liberté qui n’a pas tardé à disparaître à la vue des sous-sols. Remis par l’huissier au directeur, le narrateur a été enfermé dans un cabinet en compagnie d’un autre condamné âgé de 55 ans et qui attend à son tour son transfert à Bicêtre. Après avoir entendu l’histoire du vieux, le narrateur a échangé, par peur, sa redingote contre la veste du vieillard. Enfin il est reconduit à une chambre dans l’attente de son exécution. Résumé du chapitre 24 Le narrateur regrette amèrement l’échange de sa redingote qui n’était que par peur. Résumé du chapitre 25 Le narrateur est amené ensuite à une cellule où on lui a donné une table, une chaise et tout pour écrire. Mais on a installé avec lui un gendarme pour empêcher toute tentative du suicide. Résumé du chapitre 26 Le narrateur a écrit une lettre à sa fille dans laquelle il exprime toute sa douleur et son amertume. Il accuse les hommes de vouloir laisser une enfant de trois ans orphelin. L’attente de l’exécution semble exercer un effet terrifiant sur le narrateur qui espère un miracle pour le sauver. Résumé du chapitre 27 Le narrateur est pris dans un tourbillon de peur et de terreur au point où il n’ose pas écrire le mot guillotine ». il imagine que son exécution sera atroce. Résumé du chapitre 28 Ayant déjà assisté à une exécution, le narrateur imagine comment sera la sienne. Il croit que les préparatifs ont déjà commencé par le graissage de la rainure. Résumé du chapitre 29 Dans un moment de délire, le narrateur espère la grâce royale mais en vain Résumé du chapitre 30 Le prêtre est revenu consoler le narrateur et l’assister dans ces derniers moments. Le prêtre qui exerce cette fonction depuis des années se fait renvoyé par le narrateur qui veut rester seul pendant sa réflexion. Résumé chapitre 31 Dans ces derniers moments de retranchement, l’architecte de la prison est entré dans la cellule où se trouve le narrateur pour prendre des mesures afin de rénover les murs l’année suivante puis il échange des propos avec le narrateur avant de se faire renvoyé par le gendarme. Résumé du chapitre 32 Le gendarme chargé de surveiller le narrateur a été échangé par un autre, un superstitieux et mordu des loteries. Il supplie le narrateur de le visiter dans ces rêves, une fois mort, pour lui donner des numéros gagnants. Le narrateur lui demande en échange ses vêtements en vue d’une éventuelle évasion, mais le gendarme ridicule refuse et le désespoir regagne le narrateur. Résumé du chapitre 33 Le narrateur sentant l’heure de la mort approcher se réfugie dans le rêve. Il retrouve des souvenirs d’enfance et de jeunesse en compagnie de sa bien-aimée la petite Espagnole Pepa. Il garde surtout le souvenir d’une soirée passée ensemble où ils sont échangés des bises. Résumé du chapitre 34 Le narrateur retrouve dans le souvenir ses années d’innocence mais il revoit en crime et tente de se repentir. Malheureusement il n’a pas le temps de le faire. Il en pense qu’à son heure qui approche. Résumé du chapitre 35 Le narrateur envie les gens ordinaires qui vaquent à leurs taches quotidiennes. Résumé du chapitre 36 Le narrateur se rappelle le jour où il est allé voir la cathédrale Notre-Dame de Paris. Au moment où il est arrivé au sommet de la tour, la cloche a sonné et a fait trembler tout le toit. Heureusement il a évité une chute mortelle. Résumé du chapitre 37 Le narrateur revoit l’Hôtel de Ville dont l’aspect triste lui rappelle la Grève au moment des exécutions avec les rassemblements des spectateurs. Résumé du chapitre 38 L’heure de l’exécution approche, il ne lui reste que deux heures et quarante cinq minutes. Le narrateur ressent alors des douleurs physiques atroces. Résumé du chapitre 39 Le narrateur imagine comment il va vivre le moment de son exécution. Il vit ce moment par prévision. Mais le fait d’y penser le fait souffrir davantage. Résumé du chapitre 40 Poussé par son instinct de survie , le narrateur pense au roi Charles X en espérant une éventuelle grâce. Résumé du chapitre 41 Le narrateur décide d’affronter la mort avec courage. Il imagine alors ce que sera sa vie après la mort. Cela pourrait être des abîmes de lumières sans fin ou des gouffres hideux où tout sera noir et où le narrateur tombera sans cesse. Il imagine aussi les morts pourraient se rassembler dans la place de la Gréve pour assister à l’exécution du bourreau par un démon. Le narrateur voudrait savoir ce qu’il adviendra de son âme après la mort. Dans ce moment de crise à l’approche de l’exécution le narrateur réclama un prêtre pour soulager sa douleur Résumé du chapitre 42 Après l’arrivée du prêtre, le narrateur a dormi pendant quelques instants. Il a fait alors un rêve étrange il rêve qu’il était chez lui avec des amis, qu’ils avaient parlé de quelque chose qui les avait effrayés puis ils avaient entendu un bruit dans la maison, c’était une vielle femme qui s’était cachée dans la cuisine. Au moment où il a rêvé que la vielle le mordait, il s’est réveillé puis on lui a annoncé la présence de sa fille. Résumé du chapitre 43 Malheureusement sa fille ne l’a pas reconnu. Elle ne l’a pas vu depuis un an. Il a tenté de lui faire comprendre qu’il est son vrai père mais la fille ne l’a pas cru. Rien ne le rattache à présent à la vie. Il se laisse conduire à la mort docilement. Résumé du chapitre 44 Pendant l’heure qui lui reste à vivre le narrateur se ressaisit et revoit dans son esprit comment sera son exécution. Il pense au bourreau, à la foule, aux gendarmes et à la place de Grève. Résumé du chapitre 45 Il imagine la foule en train de l’applaudir, une foule insensible à ses souffrances. Il pense à ce lieu fatal qui est la place de Grève et à toutes les têtes qui tomberaient après lui dans l’indifférence totale. Résumé du chapitre 46 Il pense à sa fille qui l’a déjà oublié et veut lui écrire une histoire. Résumé du chapitre 47 Note Le narrateur n’avait pas le temps pour écrire son histoire. Résumé du chapitre 48 L’heure de l’exécution est arrivé, on demande au narrateur de se préparer mais il se sent faible. On l’a emmené dans une chambre au rez-de-chaussée du palais de Justice où son bourreau avec ses deux valets l’attendait. On lui a coupé les cheveux puis on lui a attaché les mains derrière le dos et on a coupé le col de sa chemise ensuite on lui a lié les deux pieds puis on lui a noué les deux manches de sa veste sur le menton. On l’a pris sous les aisselles pour le conduire à la guillotine. La foule est là qui attend hurlante. Les gendarmes, les soldats sont aussi là pour accompagner le condamné. Mis dans une charrette avec le prêtre, le narrateur frémit de peur devant cette foule enragée. Sur le chemin qui mène à la place de Grève la foule s’est attroupée. Sous une pluie fine la charrette passe par le pont- au- Change, par le quai aux Fleurs puis par la coin du Palais. Attiré par une Tour, le narrateur demande au prêtre des informations sur cet édifice. Ce dernier lui a dit qu’elle s’appelle crucifix et le baise pour avoir du courage à affronter la foule qui semble l’effrayer plus que la mort. Passant par le quai, le narrateur entre dans une sorte d’ivresse qui enveloppe son esprit et le coupe de la réalité au point où il ne distingue plus rien. Son corps commence à sentir la mort. Tout défile devant ses yeux sans qu’il puisse y accorder la moindre attention. Seule la voix de la foule se fait entendre. Enfin la charrette arrive à la place de Gréve, le narrateur demande alors une dernière faveur écrire ses dernières volontés. Résumé du dernier chapitre 49 Poussé par son instinct de la survie, le narrateur supplie un commissaire chargé de suivre l’exécution de lui accorder cinq minutes dans l’espoir d’avoir une grâce au dernier moment. Malheureusement on est venu le chercher à quatre heures de l’après-midi pour l’exécuter. Fin Résumé de l'oeuvre chapitre par chapitre 2 CHAPITRE1 Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l’idée de la mort. Il est doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans une cellule à Bicêtre. Moralement, il est prisonnier d’une seule idée condamné à mort. Il se trouve dans l’impossibilité de penser à autre chose. CHAPITRE2 De sa cellule, le narrateur se souvient de son procès et de sa condamnation à mort. Il relate les circonstances de son procès et sa réaction au verdict fatal. CHAPITRE3 Le condamné semble accepter ce verdict. Il ne regrette pas trop de choses dan,s cette vie où tous les hommes sont des condamnés en sursis. Peu importe ce qui lui arrive. CHAPITRE4 Le condamné est transféré à Bicêtre. Il décrit brièvement cette hideuse prison. CHAPITRE5 Le narrateur nous parle de son arrivée à la prison. Il a réussi à améliorer ses conditions de prisonnier grâce à sa docilité et à quelques mots de latin. Il nous parle ensuite de l’argot pratiqué en prison. CHAPITRE6 Dans un monologue intérieur, le prisonnier nous dévoile sa décision de se mettre à écrire. D’abord, pour lui-même pour se distraire et oublier ses angoisses. Ensuite pour ceux qui jugent pour que leurs mains soient moins légères quand il s’agit de condamner quelqu’un à mort. C’est sa contribution à lui pour abolir la peine capitale. CHAPITRE7 Le narrateur se demande quel intérêt peut-il tirer en sauvant d’autre têtes alors qu’il ne peut sauver la sienne. CHAPITRE8 Le jeune condamné compte le temps qui lui reste à vivre. Six semaines dont il a déjà passé cinq ou même six. Il ne lui reste presque rien. CHAPITRE9 Notre prisonnier vient de faire son testament. Il pense aux personnes qu’il laisse derrière lui sa mère, se femme et sa petite fille. C’est pour cette dernière qu’il s’inquiète le plus. CHAPITRE10 Le condamné nous décrit son cachot qui n’a même pas de fenêtres. Il décrit aussi le long corridor longé par des cachots réservés aux forçats alors que les trois premiers cabanons sont réservés aux condamné à la peine capitale. CHAPITRE11 Pour passer sa longue nuit, il se lève pour nous décrire les murs de sa cellule pleins d’inscriptions, traces laissées par d’autres prisonniers. L’image de l’échafaud crayonnée sur le mur le perturbe. CHAPITRE12 Le prisonnier reprend sa lecture des inscriptions murales. Il découvre les noms de criminels qui ont déjà séjourné dans cette triste cellule. CHAPITRE13 Le narrateur- personnage se rappelle d’un événement particulier qui a eu lieu il y a quelques jours dans le cour de la prison le départ des forçats au bagne de Toulon. Il nous rapporte cet événement comme un vrai spectacle en trois actes la visite médicale, le visite des geôliers et le ferrage. Il nous parle du traitement inhumain réservé à ces condamnés. A la fin du spectacle, il tombe évanoui. CHAPITRE14 Quand il revient à lui, il se trouve dans l’infirmerie. D’une fenêtre , il peut observer les forçats partir tristement sous la pluie au bagne de Toulon. Il préfère plutôt la mort que les travaux forcés. CHAPITRE15 Le prisonnier est dans sa cellule. Il avait senti un peu de liberté dans l’infirmerie mais voilà qu’il est repris par l’idée de la mort qu’il pense à s’évader. CHAPITRE16 Le narrateur se rappelle de ces quelques heures de liberté à l’infirmerie. Il se souvient de cette jeune fille qu’il a entendu chanter de sa vois pure, veloutée une chanson en argot. CHAPITRE17 Il pense encore à s’évader. Il s’imagine déjà en dehors de la prison dans le port pour s’embarquer vers l’Angleterre mais voilà qu’un gendarme vient demander son passeport le rêve est brisé CHAPITRE18 Il est six heures du matin. Le guichetier entre dans le cachot. Il demande à notre condamné ce qu’il désire à manger. CHAPITRE19 Le directeur de la prison vient en personne voir le condamné. Il se montre doux et gentil. Le jeune comprend que son heure est arrivée. CHAPITRE20 Le narrateur pense à son geôlier, à la prison qu’il trouve partout autour de lui, dans les murs, dans les guichetiers… CHAPITRE21 Le condamné reçoit deux visites. D’abord celle du prêtre et puis celle de l’huissier. Ce dernier vient lui annoncer que le pourvoi est rejeté et que son exécution aura lieu le jour même place de Grève. Il reviendra le chercher dans une heure. CHAPITRE22 Le prisonnier est transféré à la Conciergerie. Il nous conte le voyage et sa discussion avec le prêtre et l’huissier pendant le trajet. Il se montre peu bavard et parait plutôt pensif. A huit heures trente, la carriole est déjà devant la Cour. CHAPITRE23 L’huissier remet le condamné aux mains du directeur. Dans un cabinet voisin, il fait une rencontre curieuse avec un condamné à mort qui séjournera dans la même cellule à Bicêtre. Ce dernier, fils d’un ancien condamné à mort lui raconte son histoire et s’empare de sa redingote . CHAPITRE24 Le narrateur est enragé parce que l’autre condamné lui a pris sa redingote. CHAPITRE25 Le condamné est transféré dans une autre cellule. On lui rapporte, sur sa demande une chaise, une table, ce qu’il faut pour écrire et un lit. CHAPITRE26 Il est dix heures. Le condamné plaint sa petite fille qui restera sans père. Elle sera peut être repoussée, haie à cause de lui. CHAPITRE27 Le narrateur se demande comment on pouvait mourir sur l’échafaud. CHAPITRE28 Il se rappelle avoir déjà vu une fois monter une guillotine sur la place de Grève. CHAPITRE29 Le jeune détenu pense à cette grâce qui ne vient toujours pas. Il estime maintenant que les galères seraient meilleure solution en attendant qu’un jour arrive la grâce. CHAPITRE30 Le prêtre revient voir le condamné. Celui-ci est loin d’apprécier sa présence. Ce prêtre parle machinalement et semble peu touché par la souffrance du prisonnier. Ensuite, et bien que la table soit délicate et bien garnie, il ne peut manger. CHAPITRE31 Le narrateur est surpris de voir un homme prendre les mesures de la cellule. Ironie du sort la prison va être rénovée dans six mois. CHAPITRE32 Un autre gendarme vient prendre la relève. Il est un peu brusque. Il demande au prisonnier de venir chez lui après son exécution pour lui révéler les trois bons numéros gagnants à la loterie . Le condamné veut profiter de cette demande bizarre il lui propose de changer ses vêtements avec lui. Le gendarme refuse ; il a compris que le prisonnier veut s’évader. CHAPITRE33 Pour oublier son présent, le narrateur passe en revue ses souvenirs d’enfance et de s’arrête longuement sur le souvenir de Pepa, cette jeune andalouse dont il était amoureux et avec qui il a passé une belle soirée d’été. CHAPITRE34 Au milieu de ses souvenirs de jeunesse, le condamné pense à son crime. Entre son passé et son présent, il y a une rivière de sang le sang de l’autre sa victime et le sien le coupable CHAPITRE35 Le narrateur pense à toutes ces personnes qui continuent toujours à vivre le plus normalement au monde. CHAPITRE36 Il se rappelle ensuite du jour où il est allé voir la grande cloche le bourdon de Notre-Dame cathédrale à Paris CHAPITRE37 Le narrateur décrit brièvement l’hôtel de ville. CHAPITRE38 Il est une heure le quart. Le condamné éprouve une violente douleur. Il a mal partout. Il lui reste deux heures quarante cinq à vivre. CHAPITRE39 On dit que sous la guillotine, on ne souffre pas, que cela passe vite. Le narrateur se demande comment on peut savoir une telle chose puisque aucun condamné déjà exécuté ne peut l’affirmer. CHAPITRE40 Le jeune détenu pense au roi. C’est de lui que viendrait la grâce tant attendue. Sa vie dépend d’une signature. Il espère toujours. CHAPITRE41 Le condamné se met dans la tête l’idée qu’il va bientôt mourir. Il demande un prêtre pour se confesser, un crucifix à baiser CHAPITRE42 Il se laisse dormir un moment. C’est son dernier sommeil. Il fait un cauchemar et se réveille frémissant, baigné d’une sueur froide. CHAPITRE43 La petite Marie vient rendre visite à son père. Ce dernier est choqué devant la fraîche et la belle petite fille qui ne le reconnaît pas. Elle croit que son père est mort. Le jeune condamné perd tout espoir. CHAPITRE44 Le détenu a une heure devant lui pour s’habituer à la mort. La visite de sa fille l’a poussé dans le désespoir. CHAPITRE45 Il pense au peuple qui viendra assister au spectacle » de son exécution. Il se dit que parmi ce public enthousiaste, il y a peut-être des têtes qui le suivront , sans le savoir, dans sa fatale destination. CHAPITRE46 La petite Marie vient de partir. Le père se demande s’il a le temps de lui écrire quelques pages. Il cherche à se justifier aux les yeux de sa fille. CHAPITRE47 Ce chapitre comporte une note de l’éditeur les feuillets qui se rattachent à celui-ci sont perdus ou peut être que le condamné n’a pas eu le temps de les écrire CHAPITRE48 Le condamné est dans une chambre de l’hôtel de ville. A trois heures, on vient l’avertir qu’il est temps. Le bourreau et ses deux valets, lui coupent les cheveux et le collet avant de lier ses mains. Le convoi se dirige ensuite vers la place de Grève devant une foule de curieux qui attendent l’exécution. CHAPITRE49 Le condamné demande sa grâce à cette personne qu’il croyait juge, commissaire ou magistrat. Il demande, par pitié, qu’on lui donne cinq minutes pour attendre la grâce. Mais le juge et le bourreau sortent de la cellule. Il reste seul avec le gendarme. Il espère encore mais voilà qu’on vient le chercher… Arguments pour la peine capitale _ Un meurtrier prive un individu de sa vie. De quel droit et au nom de quoi ? _ Aucun individu ne peut se permettre d'une façon arbitraire de tuer, violer, etc. _ la peine de mort n'est pas un moyen de répression mais une forme de prévention ou tout du moins de dissuasion. _ Si la vie est sacrée pourquoi laisser le droit a certaines personnes d'en faire ce qu'elles veulent ? _ En quoi une société se discrédite en adoptant la peine de mort ? _. Les crimes commis qui font mériter la peine de mort permettent-ils encore de considérer l’assassin comme un être humain ? Les droits de l’homme ne peuvent par conséquent plus être invoqués quand on parle de peine de mort. _ Les erreurs judiciaires il ne faut pas non plus exagérer. Ils sont totalement fiables. OÙ La question de la condamnation des innocents n’est pas celle de la peine de mort, mais de la faillibilité de la justice. _. La peine de perpétuité est tout aussi inhumaine c’est condamner à vivre, tout en sachant qu’on ne sortira jamais. En prison à perpétuité, le condamné perd le peu d’humanité qui lui restait, et devient un animal. _. Un meurtrier, un violeur etc. n’a jamais l’impression d’avoir fait du mal, on ne peut attendre qu’il mette lui-même un terme à ses jours _. Il n’existe aucune garantie que les condamnés à mort ou à perpétuité selon les pays ne commettront pas à nouveaux leurs crimes s’ils sortent, même très vieux. Mieux vaut supprimer totalement cette probabilité, même si elle est infime. 4. mieux vaut une erreur judiciaire et la condamnation à mort d’un suspect, que la mort de nouvelles victimes qui n’auront même pas eu la chance de passer devant un tribunal. Il y aura toujours plus de victimes de récidivistes libérés après une peine plus ou moins longue, que de condamnés à mort par erreur. _. Pour un criminel qui deviendra un ange, combien seront libérés sous serment et recommenceront une, dix, cent fois avant d’être repris ? _. La majorité de la population est pour son rétablissement en France _. Cela ne fait pas revenir la victime, mais au moins les familles de victimes sont apaisées, car elles savent qu’il n’est plus possible que ce mal frappe à nouveau. _. il est choquant de payer pour des meurtriers que l’on garde en prison à moins qu’ils ne paient leur dette contractée envers la société par des travaux d’intérêt généraux par exemple. _. un récidiviste libéré peut, dans sa vie privée, même s’il se conduit bien dans sa vie publique, reproduire le cercle vicieux dont il a été lui-même victime personne ne sera là pour vérifier qu’il ne bat pas ses enfants, ou pire, par exemple. Il s’agit donc aussi de casser ce cercle vicieux de la reproduction dont les psy nous parlent tant. _. nous ne savons pas si la peine de mort fait baisser le taux de criminalité, mais ce dont on est sûr, c’est qu’elle ne le fait pas monter ! Son impact n’est certainement pas nul. Choisissons donc la solution dont nous sommes sûrs. _. ce n’est pas être contre les droits de l’homme que d’être pour la peine de mort, puisque la perpétuité bafoue les droits et la dignité de l’homme 575 pers. en 9 _. beaucoup de pays dits non- démocratiques’ ont aboli la peine de mort Angola 1992, Azerbaïdjan 1998, Croatie 1990 , Équateur 1906, Georgie 1997, Haïti 1987, Honduras 1956, Lituanie 1998, Mozambique 1990, Namibie 1990, Népal 1997, Nicaragua 1979, Roumanie 1989, Timor Oriental 1999, etc source écart-type ; Turquie 2002 source la Voix du Nord du _. Des pays dits démocratiques ont encore la peine de mort les Etats-Unis surtout, pour certains Etats, ainsi que le Japon _. On fait de l’assassin la victime, en s’occupant de lui et en lui trouvant des excuses passé, éducation, etc. _. Mieux vaut consacrer les ressources limitées dont notre société dispose hommes, temps, argent, etc. pour développer celles et ceux qui n’ont fait de mal à personne et qui le méritent largement plus, que de s’occuper des anciens meurtriers et violeurs, pour qu’ils reviennent dans le bon chemin. Ce site est résérvé pour les lycéens marocains;niveaupremière année bac . Publié par Hassan El Mzarane. écrit par Mr Daif Abdelaziz & Mme Fatiha Kerzazi. from Morocco . New education system of Morocco
les évènements essentiels du Dernier jour d'un condamnéBicêtre du chapitre I au chapitre XXI Chapitre IDepuis cinq semaine, dans sa cellule à Bicêtre un jeune condamné se rappelle sasituation d’homme libre autrefois par rapport à sa situation réelle d’homme captif,obsédé par l'idée de la mort qui le poursuit partout en gâchant son IILe narrateur revient sur le jour de la proclamation de sa condamnation à mort dans la salle d’audience Il décrit les circonstances de son procès et ce sentiment de clôture entre lui et le monde qui prend la couleur d’un linceul après ce jugement fatal. Chapitre IIIle condamné semble accepter ce verdict en pensant que tous les hommes sont condamnés à mort un jour ou l’autre. Il est alors soumis à son destin. Chapitre IV Il est alors transféré dans une cellule hideuse à Bicêtre où il a passé cinq décrit brièvement cette hideuse VDès l’arrivée du narrateur à Bicêtre, les gardes ont multiplié les précautions pour empêcher son suicide, ensuite on lui a remis une camisole. Grâce à sa jeunesse, sa docilité et à quelques mots en latin, on lui a accordé des faveurs comme la promenade hebdomadaire , le papier, l’encre, une lampe et des plumes pour écrire. En plus, à l’heure de la récréation, on le lâche dans le préau pour causer avec les autres détenus qui lui ont appris à parler argot. Chapitre VI Après hésitation, le condamné décide d'écrire le journal de ses souffrances pour se divertir, pour oublier sa situation de condamné et pour contribuer à l'abolition de la peine capitale en s’adressant à ceux qui jugent et qui condamnent afin de les sensibiliser surtout à cette lente succession de torture qui commence par l’arrêt de mort et se termine dans la place de Grève .Chapitre VIILe désespoir du condamné qui s’interroge sur l’importance de ce journal après sa mort en espérant qu’il puise être utile à d’autres lorsqu’il s’agit de sauver des têtes qui pensent du couteau de la guillotine. Chapitre VIII Le narrateur commence à compter les jours sans s’assurer du temps qu’il a passé à Bicêtre cinq ou six semaines .Chapitre IXLe condamné vient de faire son testament. Il pense à sa famille, victime de la loi, qui va rester après sa mort sans protection ni ressources, en s’inquiétant surtout pour sa fille Marie, âgée de trois XLe condamné nous décrit son cachot de l’intérieur vers l’extérieur afin de dévoiler la situation misérables des condamnés en l’absence des conditions minimales pour une vie décente ni porte ni soupirail, une porte dominée par le fer, un matelas en paille et un garde en permanence. Chapitre XILe condamné décrit les traces laissées aux murs de son cachot par d’autres qui l’ont précédé écritures, dessins, figures bizarres, noms des criminels…Mais arrêté devant l’image épouvantable de l’échafaud, il est tellement ému, terrifié en pensant qu’on le dresse pour son exécution. Chapitre XIILe narrateur-personnage reprend la lecture de son mur après avoir dissipé son effroi qui est dû à la vue de l’échafaud, il découvre les noms des criminels qui l’ont précédé à ce cachot Dautun qui a coupé son frère en quartiers, Poulain qui a assassiné sa femme, Jean Martin qui a tué son père, le médecin Casting qui a empoisonné son ami, le fou Papavoine qui tuait les enfant à coup de couteau sur la tête. Chapitre XIIIUn jour, il assiste depuis une autre cellule à la scène barbare du ferrement des forçats enchaînement des prisonniers condamnés aux travaux forcés qui a eu lieu dans la cour de la prison. Après ce ferrement , les misérables forçats, traités comme des bête vont partir au bagne de Toulon. À la fin du spectacle tous les prisonniers le désignent en lui rappelant avec un ton moqueur sa mort , il tombeévanoui. Chapitre XIVIl est alors transféré à l'infirmerie où il se sent plus libre. Réveillé par le bruit des charrettes transportant les forçats, il pense que sa situation de condamné est mille fois mieux que celle de ces prisonniers. Chapitre XV Une fois retourné au cachot, le désespoir le laisse penser à l'évasion, à l’impossibilité d’être gracié puisque ceux qui jugent et qui condamnent pensent qu’il doit donner l’exemple aux autres, il est alors sûr qu’il n’y a que trois pas qui le sépare de la mort Bicêtre, la Conciergerie, la Grève. Chapitre XVIIl se souvient de la chanson en argot d’une jeune de quinze ans lorsqu’il était à l’infirmerie , cette complainte parle de la mort le condamné alors est à la fois terrifié par l’évocation de la mort et touché par sa voix douce et velouté. Il pense finalement que la prison détruit tout. Chapitre XVIILe condamné rêve de liberté, il s’imagine en dehors de la prison dans le port pour s’embarquer en Angleterre, mais son rêve était brisé par l’arrivée d’un gendarme .Chapitre XVIIIÀ six heures du matin, le guichetier demande au condamné ce qu’il désire à manger. Il comprend alors que son exécution aura lieu le jour XIXLe directeur, en personne lui rend visite , en se montrant gentil. Il lui demande à son tour ce qu'il désire le condamné est certain que c’est son dernier jour. Chapitre XXLe condamné trouve que la prison est partout autour de lui, elle apparaît sous toutes les formes humainesles guichetiers comme sous la forme de grille, de verrou, de porte et de murs …Elle l’enferme, le surveille et le torture. Terrifié, il s’interroge sur son devenir, sur ce qu’il vont faire de lui. Chapitre XXILe condamné reçoit la visite du prêtre pour ses dernières prières puis celle de l'huissier de justice qui lui annonce le rejet de son pourvoi en l’informant que son exécution aura lieu le même jour à la place de Grève. Pris par la terreur et le désespoir, il pense vainement à l’évasion. La Conciergerie du chapitre XXII au chapitre XLVIIChapitre XXIILe prisonnier est transféré à la Conciergerie accompagné du prêtre et de l' ils y arrivent à huit heures trente. Il s’était déjà formé une foule sur son passage. Chapitre XXIIIIl est placé dans une cellule où il fait connaissance d'un autre condamné le friauche qui occupera son ancien cachot de Bicêtre et qui sera exécuté dans six semaines. Ce friauche, fils d’un ancien condamné à mort, lui raconte son histoire et s'empare de sa XXIVLe condamné est enragé contre le friauche qui lui a pris sa veste il ne lui a pas donné, mais il était plus fort que lui. Il a peur d’être battu par ce voleur en cas de XVIl est par la suite transféré dans une autre cellule où on lui rapporte sous sa demande une chaise, un lit et ce qu'il faut pour écrire. Mais, un gendarme est installé avec lui pour empêcher toute tentative de XXVIIl est dix heures il lui reste six heures, le prisonnier plaint sa petite fille qui restera sans père. Elle sera méprisée et repoussée à cause de lui. Il s’adresse à sa petite fille en accusant ceux qui condamne d’être responsables de son sort fatal et du devenir de sa fille après sa mort elle sera orpheline. Il n’arrive plus à croire qu’il va mourir avant la fin de ses XXVIILe condamné est hanté par la guillotine. Terrifié, il ne peut même écrire le mot ’guillotine’’. Il se demande comment on pouvait mourir sur l'échafaud en évoquant le médecin de malheur qui a inventé cette XXVIIILe condamné se rappelle avoir vu la guillotine une espèce d’estrade en bois XXIXLe condamné se révolte contre la peine de mort en espérant la grâce royale qui ne vient toujours pas et pense maintenant assistant au ferrement des forçats humiliés, il préfère mille fois la mort que d’être forçat que les galères seraient la meilleure solution en attendant cette grâce car un forçat malgré tout est vivant. Chapitre XXXLe prêtre revient voir le condamné pour l’assister et le consoler mais la rencontre tourne en malentendu car le prêtre croit que le condamné est un impieincroyant et le condamné le trouve insensible à sa situation et ses paroles sont machinales. Ensuite, il manque d’appétit bien que la table soit délicate, il est incapable de manger. Chapitre XXXILa visite de l’architecte qui informe le condamné d’un ton ironique que la rénovation de la prison aura lieu dans six mois le gendarme lui a répondu qu’il ne faut pas parler si haut dans la chambre d’un mort. Chapitre XXXIILe nouveau gendarme stupide et superstitieux demande au condamné de le visiter dans ses rêves après son exécution pour lui accorder les trois bons numéros gagnants à la loterie. Le condamné lui demande en contrepartie ses vêtements mais le gendarme n’a pas accepté car pour avoir les bons numéros le condamné doit mourir et non s’ XXXIIIPour oublier sa situation de condamné le narrateur pense à ses souvenirs d'enfance et à sa jeunesse, à sa famille et à Pépa l'espagnole dont il était amoureux .Chapitre XXXIVIl est une heure, le condamné révèle son repentir vis à vis de son crime mais il avoue à ceux qui jugent qu'il n'était pas méchant malgré son crime. Il pense à sa liberté d’autrefois en regrettant sa mort dans quelques XXXVLe condamné pense qu’au moment où il ne lui reste que quelques heures à vivre d’autres personnes continuent à vivre normalement en exerçant leurs activités XXXVIIl se rappelle ensuite le jour où encore enfant, il est allé voir la grande clochele bourdon de Notre -Dame cathédrale à Paris.Chapitre XXXVIILe condamné décrit brièvement l’hôtel de ville Il est sinistre, lugubre et XXXVIIIIl est une heure et quart, il éprouve une violente douleur partout , il lui reste deux heures quarante cinq minutes à vivre La plume tombe de ses mains comme par une secousse XXXIXEnragé, il attaque violemment ceux qui pensent que la condamnation par la guillotine ne fait pas souffrir en se demandant comment peuvent-ils le savoir ?Il précise que la vraie souffrance est celle de l’esprit Elle commence dès le jugement et se poursuit en progressant jusqu’à l’exécution. Chapitre XLLe captif pense que sa vie dépend d'une signature, il pense au roi Charles X en espérant toujours sa grâce . Chapitre XLILe narrateur décide d’affronter la mort avec courage, il s’interroge sur le devenir de son âme après sa mort . l'idée de mourir le rend fou, il réclame un prêtre pour se confesser et soulager sa XLIIDurant son dernier sommeil une heure après l’arrivée du prêtre, il a fait un cauchemar et se réveille frissonnant et baigné dans une sueur froide. On lui annonce la présence de sa XLIIIMalheureusement, sa petite fille Marie ne l'a pas reconnu croyant que son père était mort, d’où son désespoir absolu Il est alors prêt pour l'exécution puisque la dernière fibre de son cœur était XLIVUne heure devant le condamné pour s'habituer à la mort en pensant au bourreau,à la charrette, au gendarmes, à la foule détestable, à la place de XLVIl pense à cette foule insensible à sa souffrance Elle se prépare pour assister vivement au spectacle de son exécution. Il se dit que parmi cette foule, il y a des têtes qui le suivront, dans le panier rouge, sans le savoir Certains de ceux qui sont venus pour assister à sa condamnation, viendront un jour pour leur propre exécution Ils seront alors à leur tour un spectacle pour d’autres. Chapitre XLVI Pensant à sa fille, le condamné se demande s’il lui reste du temps pour lui écrire son histoireChapitre XLVIIUne note de l’éditeur montre que peut être cette histoire n’a pas été écrite par le condamné ou ces feuillets ont été perdus. L’hôtel de ville , la place de Grève du chapitre XLVIII au chapitre XLIXChapitre XLVIIIÀ trois heures, l’heure du condamné est arrivée , on lui demande de se préparer mais il se sent faible. On l'amène à l'hôtel de ville près de la place où il sera une chambre de l'hôtel de ville, le bourreau et ses deux valets l’attendait. On lui a coupé les cheveux, on a attaché ses mains derrière le dos, on a coupé le colletde la chemise et ensuite on a lié ses deux pieds C’est la toilette du condamné .Le convoi se dirige ensuite vers la place de Grève. Le condamné frémit de peur devant cette foule détestable et hurlante qui l’attend. Étourdi, le condamné se sent en rupture avec ce qui l’entoure, excepté la voix de la foule. Enfin la charrette arrive à la place de Grève. Il demande une dernière faveur écrire ses dernières volontés d’homme qui sera privée de sa XLIXDevenant spectacle à cette détestable foule, le condamné est terrifié, il implore la pitié, demande, au commissaire chargé de son exécution, encore une minute pour attendre sa grâce mais il est quatre heures, il entend qu’on monte l’escalier, il sera guillotiné.
le dernier jour d un condamné résumé chapitre par chapitre